Les Pardaillan, tome 8 : Le trésor de Fausta

Les Pardaillan, tome 8 : Le trésor de Fausta

Michel Zévaco

Tome 8 sur 10 de cette collection

Romans & récits

ePUB

1,1 MB

DRM : filigrane

ISBN: 9782322143924

Éditeur : Books on Demand

Date de parution : 16.06.2018

Langue: français

Évaluation:
0%
3,49 €

TVA incluse

Téléchargement disponible dès maintenant

Merci de noter que cet ebook ne peut pas être lu par une liseuse Kindle d’Amazon, mais seulement par des appareils qui peuvent prendre en charge des fichiers au format ePub. En savoir plus

Votre propre livre !

Devenez auteur avec BoD et vendez votre livre et votre ebook en librairie.

En savoir plus
Saêtta s'arrêta devant la table du ministre et s'inclina profondément, mais sans servilité, avec une sorte de fierté narquoise. Sully fixa sur lui son oeil scrutateur. Ce coup d'oeil lui suffit pour juger le personnage. Sans aménité, brusquement, sèchement, il dit : - C'est vous qui prétendez apporter au Trésor une somme de dix millions ? Nullement intimidé, Saêtta rectifia froidement : - J'apporte en effet dix millions au Trésor, monseigneur. Sully le fixa le quart d'une seconde et, avec la même brusquerie : - Soit. Où sont ces millions ? Parlez. Et surtout soyez bref : je n'ai pas de temps à perdre. L'accueil eût démonté un solliciteur ordinaire. Il eût écrasé un courtisan.
Michel Zévaco

Michel Zévaco

Né en Corse, Michel Zévaco passe son adolescence en internat et obtient en 1878 son baccalauréat. Après une courte expérience de professeur à 20 ans, il entre dans l'armée où il reste quatre ans (sous-lieutenant de Dragons en 1886). Libéré de toute obligation militaire en juillet 1886, il s'installe à Paris.

Attiré par les lettres et la politique, Michel Zévaco devient journaliste, puis secrétaire de rédaction à L'Egalité que dirige alors le socialiste révolutionnaire Jules Roques. Il se présente sans succès aux élections législatives de 1889 pour la Ligue socialiste de Roques. À cette époque, il rencontre Louise Michel, Aristide Bruant, Séverine...

En raison de la virulence de ses propos, en pleine période d'attentats anarchistes, Michel Zévaco est condamné à plusieurs séjours à la prison Sainte-Pélagie. Par exemple, il est condamné le 6 octobre 1892 par la cour d'assise de la Seine pour avoir déclaré dans une réunion publique à Paris:

"Les bourgeois nous tuent par la faim ; volons, tuons, dynamitons, tous les moyens sont bons pour nous débarrasser de cette pourriture"

Il n'y a pour le moment pas de critique presse.

Rédigez votre propre commentaire
Merci de vous connecter ici à votre compte client pour laisser un avis.
Recherche propulsée par ElasticSuite