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RES CIVICA
IV bis - Travailler c'est trop dur?
Patrick Soulier (Ed.), Emmanuel Tugny (Ed.), Théo Demore (Ed.)Tome 3 sur 4 de cette collection
Couverture souple
388 pages
ISBN: 9782958015688
Éditeur : EEEOYS ÉDITIONS
Date de parution : 18.04.2022
Langue: français
Impression couleurs: non
12,90 €
TVA incluse / Envoi en sus
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En savoir plusQu'on le déplore, le redoute, ou qu'on s'en réjouisse, on ne peut qu'en faire le constat: le partage de la réflexion commune sur les fondements de la vie en société semble s'être figé ou s'être retiré dans des enclos sociaux atypiques.
Plus les véhicules du sens sont aisés à emprunter, plus on s'y engouffre sans préjudice des moyens dont on doit disposer pour y bien figurer: ces éléments de définition en soi qui font viatique, qui"arment", pour le parcours de l'échange vertigineux.
Le chemin vers le port est sans doute trop court, qui conduit au large...
Le café du commerce a supplanté la retraite studieuse ou plutôt, il n'en est plus guère le lieu de dévoilement des travaux.
La peur, la colère, l'allégresse, l'adulation, ont très largement offusqué l'échange des sens conçus et équilibrés en soi depuis une patiente retraite intérieure où la certitude va sereinement à la rencontre de son accident.
À quoi bon penser à la pensée préalablement si la "pensée pensée" contraint l'échange ou si son absence ne l'interdit pas?
À quoi bon introduire déséquilibres, ruptures et catastrophes dans la certitude du monde, quand cette certitude inviolée y "fait son effet"?
À quoi bon justifier des contours des hochets agités sur le forum quand ils opèrent au champ civique?
Sait-on au juste de quoi l'on parle lorsqu'on parle?
Lorsqu'on évoque la question du "travail" au champ politique, sait-on au juste de quoi l'on parle?
Ce petit numéro quatre ne cherche qu'à rendre compte de l'effort produit par des pensées qui s'affrontent à la nécessité de se "reprendre" pour aller à la rencontre du sens construit en commun "en tant que telles".
Plus les véhicules du sens sont aisés à emprunter, plus on s'y engouffre sans préjudice des moyens dont on doit disposer pour y bien figurer: ces éléments de définition en soi qui font viatique, qui"arment", pour le parcours de l'échange vertigineux.
Le chemin vers le port est sans doute trop court, qui conduit au large...
Le café du commerce a supplanté la retraite studieuse ou plutôt, il n'en est plus guère le lieu de dévoilement des travaux.
La peur, la colère, l'allégresse, l'adulation, ont très largement offusqué l'échange des sens conçus et équilibrés en soi depuis une patiente retraite intérieure où la certitude va sereinement à la rencontre de son accident.
À quoi bon penser à la pensée préalablement si la "pensée pensée" contraint l'échange ou si son absence ne l'interdit pas?
À quoi bon introduire déséquilibres, ruptures et catastrophes dans la certitude du monde, quand cette certitude inviolée y "fait son effet"?
À quoi bon justifier des contours des hochets agités sur le forum quand ils opèrent au champ civique?
Sait-on au juste de quoi l'on parle lorsqu'on parle?
Lorsqu'on évoque la question du "travail" au champ politique, sait-on au juste de quoi l'on parle?
Ce petit numéro quatre ne cherche qu'à rendre compte de l'effort produit par des pensées qui s'affrontent à la nécessité de se "reprendre" pour aller à la rencontre du sens construit en commun "en tant que telles".
Patrick Soulier (Ed.)
Emmanuel Tugny (Ed.)
Théo Demore (Ed.)
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