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Marie Kalergis-Mouchanoff, née Nesselrode
Itinéraires et correspondance de la Fée blanche
Couverture souple
612 pages
ISBN: 9782322131310
Éditeur : Books on Demand
Date de parution : 01.01.2020
Langue: français
Impression couleurs: non
Disponible en :
34,00 €
TVA incluse / Envoi en sus
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En savoir plusL'histoire de Marie KALERGIS née NESSELRODE est évoquée avec une précision révélatrice dans la biographie de Constantin PHOTIADÈS qui s'est plongé dans les archives de sa famille. Elle fut une pianiste virtuose mondaine, une beauté idéale et séduisante qui unissait la distinction aristocratique et la plus subtile compréhension des mouvements de la pensée, des variations de la politique internationale et de l'idéal artistique du 19e siècle.
Marie LIPSIUS (LA MARA) fut l'éditrice des lettres de Mme KALERGIS à sa fille, qui nous font découvrir la personnalité très attachante d'une mère prévoyante soucieuse de l'éducation de sa fille et de son entrée dans le monde, tout autant que l'intimité d'une femme qui, toute brillante, douée et généreuse qu'elle fût, dissimulait derrière le paravent d'une apparente sérénité une profonde insatisfaction intérieure et une touche de mélancolie indélébile. Les dernières années de sa trop courte vie, elle endura les tortures d'une longue maladie qui finit par l'emporter avant qu'elle pût réaliser son rêve d'assister à la première bayreuthoise du Ring de son ami Richard WAGNER.
Ces textes jusqu'ici difficilement accessibles sont à nouveau disponibles grâce à ce recueil dans lequel Luc-Henri ROGER les a réunis avec quelques autres témoignages d`époque qui nous font revivre la fabuleuse histoire de la fée blanche.
Marie LIPSIUS (LA MARA) fut l'éditrice des lettres de Mme KALERGIS à sa fille, qui nous font découvrir la personnalité très attachante d'une mère prévoyante soucieuse de l'éducation de sa fille et de son entrée dans le monde, tout autant que l'intimité d'une femme qui, toute brillante, douée et généreuse qu'elle fût, dissimulait derrière le paravent d'une apparente sérénité une profonde insatisfaction intérieure et une touche de mélancolie indélébile. Les dernières années de sa trop courte vie, elle endura les tortures d'une longue maladie qui finit par l'emporter avant qu'elle pût réaliser son rêve d'assister à la première bayreuthoise du Ring de son ami Richard WAGNER.
Ces textes jusqu'ici difficilement accessibles sont à nouveau disponibles grâce à ce recueil dans lequel Luc-Henri ROGER les a réunis avec quelques autres témoignages d`époque qui nous font revivre la fabuleuse histoire de la fée blanche.
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Marie Kalergis-Mouchanoff, née Nesselrode. La critique du Dr Pascal Bouteldja.
Blog : Munich and Co.février 2020
Luc Roger, que le Cercle Richard Wagner - Lyon avait reçu en novembre dernier à l’occasion de la parution de ses « Voyageurs de l’Or du Rhin » vient de publier aux éditons BoD un nouveau livre :
Marie Kalergis-Mouchanoff, née Nesselrode. Itinéraires et correspondance de la Fée blanche. Textes choisis et commentés par Luc Henri Roger (612 pages)
Son recueil est une réédition de deux ouvrages, depuis longtemps disparus des rayonnages des libraires anciens les plus spécialisés, permettant de faire revivre la mémoire de celle qui fut l’une des grandes mécènes de Richard Wagner.
Allemande de naissance, polonaise par sa mère, mais ayant grandi en Russie, cette comtesse de Nesselrode (1822-1874) épousa en premières noces un grec du nom de Kalergis. Avec lui, elle fit son entrée dans l’aristocratie européenne et parisienne, en particulier. Amie de Liszt, Berlioz, Delacroix, elle épousa en 1863, un aristocrate russe, le comte Sergei von Muchanoff qui fut, directeur de 1868 à 1880 du Théâtre Impérial de Varsovie. Elle aida financièrement Wagner en 1860 à la suite des déficits de ses concerts parisiens et fut longtemps l’une de ses riches protectrices. Grande mondaine, amie de nombreux souverains, elle parcourut l'Europe de Saint Pétersbourg à Paris, en passant par l’Italie, en se dévouant généreusement à la cause de la musique et aux musiciens (Liszt, Tausig). Elle se lia d’amitié avec Cosima et fut une habituée de Tribschen. C’est à elle que Wagner dédicacera, début mars 1869, la réédition du Judaïsme dans la musique. Cette dédicace considérée comme une courte préface, sera suivie d’un long post-scriptum, tentative d’explication et de justification du trop fameux opuscule de 1850, intitulé Eclaircissements sur le judaïsme dans la musique.
Ce recueil comprend l’intégralité de la correspondance écrite en français entre Marie Kalergis et sa fille, de 1853 à 1874. Compilés par La Mara, nom de plume de Marie Lipsius (1837-1927), amie de Franz Liszt et de la famille Wagner et éditeur d’une grande partie de la correspondance de Liszt, ces échanges épistolaires furent publiés en 1907 par Breitköpf & Härtel. Quelques notes et un « index des patronymes » complètent utilement ces 246 lettres. Luc Roger les fait précéder avec justesse de la grande biographie (pp. 23-176) de Constantin Photiadès (1883-1849), écrite à partir des précises archives familiales, intitulée « La Fée blanche, la symphonie en blanc majeur ». Publiée en 1923, elle fut récompensée par un prix de l’Académie française. L’éditeur y associe également un article (La vie littéraire du 12 février 1924) d’Henri de Régnier présentant la biographie de son ami Photiadès ainsi que 43 lettres de Franz Liszt à la comtesse et à divers correspondants dans lesquelles le musicien évoque sa grande amie (pp. 499-543). Un chapitre « Marie Kalergis-Muchanoff dans la poésie, au théâtre, au cinéma – Œuvres musicales dédiées » (pp. 545-571) y présente une série de poèmes (Gauthier,Heine…) ainsi que les œuvres musicales qui lui furent dédiées par Liszt, Johann Strauss fils ou encore Hans von Bülow. Enfin, un ultime chapitre « Mémoires et souvenirs » (pp.573-597) livrant quelques extraits de souvenirs et de mémoire de contemporains (Horace de Viel Castel, Pauline Viardot, Judith Gautier, Pauline de Metternich…) concluent utilement cet opus agrémenté de 10 reproductions en noir et blanc.
Un livre essentiel pour découvrir des détails inédits sur l'art et l'intimité de Franz Liszt et Richard Wagner mais aussi pour aussi traverser un quart de siècle avec une figure exceptionnelle de l’histoire culturelle européenne du XIXème siècle.
" Ladas Klassikwelt 24: „Fée blanche“, die „weiße Fee"
Klassik-begeistertmars 2020
Sie schenkte Richard Wagner zehntausend Franken, als dieser in Not war. Sie war mit Wagners späterem Schwiegervater Franz Liszt eng befreundet. Sie weinte bei Aufführungen des „Lohengrin“. Wagner widmete ihr die geschärfte Version der Broschüre „Das Judenthum in der Musik“, was sie ehrte, obgleich sie nicht antisemitisch war: Lesen sie bitte diesen außergewöhnlichen Bericht über eine außergewöhnliche Frau des 19. Jahrhunderts – die polnische Adlige Maria Kalergis (1822-1874), genannt „fée blanche“, die „weiße Fee“,
Zum ersten Mal hörte ich von Maria Kalergis (1822-1874) in der Grundschule, als ich zehn war. Meine Polnisch-Lehrerin erklärte uns die Umstände der Uraufführung der berühmtesten Oper „Halka“ von Stanisław Moniuszko in Warschau 1858. Maria Kalergis half dem Komponisten finanziell und logistisch bei diesem Vorhaben. Wenig später erfuhr ich, dass diese herausragende Frau auch einen anderen Vertreter der nationalen Opernbewegung im Europa des 19. Jahrhunderts unterstützte, nämlich Richard Wagner. Jetzt in den letzten drei Wochen ergänzte ich mein Wissen zu diesem Thema dank des neuen Buches von Luc-Henri Roger: „Maria Kalergis-Mouchanoff, née Comtesse Nesselrode. Itinéraires et correspondence de la Fée blanche“, das im Januar 2020 auf Französisch im BoD Verlag veröffentlicht wurde.
Das Buch besteht aus zwei Hauptteilen: Im ersten befindet sich die von dem Schriftsteller Constantin Photiadès verfasste Biografie von Maria Kalergis-Mouchanoff, die 1923 erschien. Im zweiten Teil haben wir die Sammlung Marias Briefe, die von der deutschen Musikwissenschaftlerin Marie Lipsius „La Mara“ veröffentlicht wurden. Hauptsächlich sind das die Briefe an die Gräfin Maria Coudenhove, die Tochter von Maria Kalergis, und an ihren Ehemann. Sie sind eine ausführliche Ergänzung des biographischen Teils. Es befindet sich dort ihre Korrespondenz mit Franz Liszt. Das Buch schließt mit einer Liste von Gedichten und Musikstücken, die Maria Kalergis-Mouchanoff gewidmet sind, und mit einer Auswahl von Erinnerungen berühmter Personen an sie. Luc-Henri Roger hat die ganze Sammlung zusammengestellt und kommentiert. Jolanta Lada-Zielke - Klassik-begeistert "
Maria Kalergis-Muchanow, czyli „biała wróżka”
Ruch Muzycznymai 2020
Książka „Maria Kalergis-Mouchanoff, z domu hrabianka Nesselrode. Pamiętniki i korespondencja białej wróżki ”[1] ukazała się w języku francuskim w styczniu 2020 roku, nakładem wydawnictwa BoD. Autorem opracowania jest Luc-Henri Roger, belgijski pisarz zamieszkały w Bawarii.
Obejmująca sześćset stron samego tekstu pozycja składa się z dwóch głównych części: biograficznej, w której znajduje się życiorys Marii Kalergis-Muchanow autorstwa powieściopisarza Constantina Photiadèsa, oraz epistolarnej zawierającej zbiór listów bohaterki, opracowanych i wydanych przez niemiecką muzykolożkę Marię Lipsius (pseudonim La Mara). Listy Marii Kalergis, pisane głównie do córki, hrabiny Marii Coudenhove i do jej męża, oraz wybór korespondecji Franciszka Liszta uzupełniają treść biografii. Niektóre wydarzenia zostały przedstawione dwukrotnie, raz w biografii, a później w którymś z listów. Książkę zamyka wykaz utworów poetyckich i muzycznych poświęconych Marii Kalergis, oraz wybór wspomnień znanych ludzi na jej temat. Luc Henri Roger korzystał też z polskich źródeł, jak biografia Marii Kalergis autorstwa Stanisława Szenica, „Dzieła Cypriana Norwida” i listy bohaterki do Adama Potockiego, w opracowaniu Haliny Kenarowej.
Czar „białej wróżki”
CULTURE AVENUEoctobre 2020
O Marii Kalergis (1822-1874) usłyszałam po raz pierwszy w wieku dziesięciu lat, kiedy omawialiśmy na lekcji języka polskiego okoliczności premierowego wystawienia Halki Stanisława Moniuszki w Warszawie, w 1858 roku. Maria Kalergis pomogła kompozytorowi finansowo i logistycznie w tym przedsięwzięciu. Później dowiedziałam się, że wspierała również działania innego przedstawiciela nurtu opery narodowej w dziewiętnastowiecznej Europie, mianowicie Ryszarda Wagnera. Ostatnio uzupełniłam swoją wiedzę o niej, czytając książkę Maria Kalergis-Mouchanoff, z domu hrabianka Nesselrode. Pamiętniki i korespondencja białej wróżki [1], która ukazała się w języku francuskim w styczniu 2020, nakładem wydawnictwa BoD. Autorem opracowania jest Luc-Henri Roger, belgijski pisarz zamieszkały w Bawarii, który napisał kilka książek o tematyce związanej z królem Ludwikiem II i Ryszardem Wagnerem.