Skip to the end of the images gallery Nav bascule
Skip to the beginning of the images gallery Nav bascule
Lettres à la fiancée (1820-1822)
oeuvres posthumes de Victor Hugo
ePUB
373,8 KB
DRM : filigrane
ISBN: 9782322464852
Éditeur : Books on Demand
Date de parution : 02.04.2022
Langue: français
Disponible en :
9,99 €
TVA incluse
Téléchargement disponible dès maintenant
Merci de noter que cet ebook ne peut pas être lu par une liseuse Kindle d’Amazon, mais seulement par des appareils qui peuvent prendre en charge des fichiers au format ePub. En savoir plus
Votre propre livre !
Devenez auteur avec BoD et vendez votre livre et votre ebook en librairie.
En savoir plusLe jeune Victor Hugo est amoureux d'Adèle Foucher, une amie d'enfance. Ils s'avouent leur amour en 1819 et, comme leurs parents s'opposent à leur union, ils correspondent secrètement de 1819 à 1822, soit jusqu'à ce qu'ils se marient en octobre 1822.
« Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse, / C'est donc vous ! Je m'enivre encore à votre ivresse. / Je vous lis à genoux ! » C'est à soixante-dix ans que Victor Hugo écrit ces vers alors qu'il vient de se replonger dans les lettres de sa jeunesse, les lettres d'amour qu'il écrivit à Adèle Foucher avant de l'épouser à vingt ans et d'en faire sa femme.
C'est une correspondance où le poète célèbre cette volupté de la rêverie, de l'espoir et de la foi, de tout ce qui est le charme victorieux des vingt ans. Un parfum s'en exhale, comme des fleurs toutes scintillantes encore de rosée. On lit charmé ce roman «vécu» ou plutôt cette idylle pareille à celle que l'auteur des «Misérables» place dans une rue disparue du vieux Paris et où la mélancolie de Marius répond au sourire de Cosette.
« Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse, / C'est donc vous ! Je m'enivre encore à votre ivresse. / Je vous lis à genoux ! » C'est à soixante-dix ans que Victor Hugo écrit ces vers alors qu'il vient de se replonger dans les lettres de sa jeunesse, les lettres d'amour qu'il écrivit à Adèle Foucher avant de l'épouser à vingt ans et d'en faire sa femme.
C'est une correspondance où le poète célèbre cette volupté de la rêverie, de l'espoir et de la foi, de tout ce qui est le charme victorieux des vingt ans. Un parfum s'en exhale, comme des fleurs toutes scintillantes encore de rosée. On lit charmé ce roman «vécu» ou plutôt cette idylle pareille à celle que l'auteur des «Misérables» place dans une rue disparue du vieux Paris et où la mélancolie de Marius répond au sourire de Cosette.
Rédigez votre propre commentaire
Il n'y a pour le moment pas de critique presse.