Dissertation sur l'Atlantide

Dissertation sur l'Atlantide

L'énigme du continent disparu : nouvelles hypothèses sur le mystère de l'Atlantide et de la civilisation Atlante

Jean-François Jolibois

Tome 9 sur 12 de cette collection

Histoire & sciences sociales

Couverture souple

90 pages

ISBN: 9782322242986

Éditeur : Books on Demand

Date de parution : 17.09.2020

Langue: français

Impression couleurs: non

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L'existence de l'antique Atlantide et sa disparition subite et violente sont l'une des plus grandes questions qui se présentent aux géologues et aux historiens. Un grand nombre d'auteurs ont déjà écrit sur ce sujet : les uns voient dans l'Atlantide une de ces fictions heureuses et poétiques que nous présente la patrie d'Hésiode et d'Homère; les autres, entraînés par les témoignages que leur apporte la tradition, par les indices frappants que leur offre l'aspect des lieux, reconnaissent son existence et s'accordent pour assurer que, dans les temps anciens, existait une vaste région que les révolutions de la nature ont fait disparaître...

C'est cette piste qu'explore Jean-François Jolibois dans cet ouvrage, paru en 1846, et amenant son lecteur vers les textes qui font état de civilisations disparues correspondant à celle des Atlantes. Les changements importants que la disparition de l'Atlantide a dû opérer dans l'organisation sociale du monde antique sont également évoqués en conclusion de cet ouvrage d'érudit sur le continent disparu.
Jean-François Jolibois

Jean-François Jolibois

Jean-François Jolibois, dit l'abbé Jolibois, né à Voiteur (Jura) le 30 mai 1794 et mort à Trévoux (Ain) le 26 avril 1875, est un homme d'Église et historien français.

Il fit ses études au lycée de Lyon et au collège de l'Argentière. Ordonné prêtre en 1816, il fut nommé professeur de rhétorique au séminaire de Verrières (actuellement dans la commune de Saint-Germain-Laval), puis au petit séminaire de Meximieux, où il eut parmi ses élèves l'abbé Gorini. Il fut vicaire en 1818, curé de Sulignat en 1820, de Cerdon en 1827, et de Trévoux en 1828. Il put consacrer à l'étude, surtout à la géographie et à la statistique, les rares loisirs que lui permettaient ses fonctions.

Chevalier de la Légion d'honneur, membre de la Société d'émulation du Jura et de celle de Trévoux, des Académies de Clermont et de Dijon, de la Société littéraire et de la Société d'agriculture de Lyon, de la Société historique de Chalon-sur-Saône, connaissant l'italien, l'espagnol, l'anglais, l'allemand, le celtique, les langues anciennes, il publia un certain nombre de travaux et avait réuni une bibliothèque de 8 000 volumes qui entra en possession de la maison des Chartreux de Lyon après sa mort.

Il est l'auteur de plusieurs opuscules historiques et géographiques publiés par diverses sociétés savantes. Une rue de Trévoux porte son nom.

Parmi ses publications on notera :

Dissertation sur l'histoire du pays des Dombes et de l'arrondissement de Trévoux, au temps des Celtes, sous les Romains, sous les Bourguignons, 1841
Dissertation sur l'Atlantide, 1843
Dissertation sur la colonie grecque de Lyon. Étymologie des noms de Lugdunum et de Lyon, 1847
Histoire de la ville et du canton de Trévoux, suivie du Texte des franchises et de l'acte de vente de la ville à la Maison de Bourbon, 1853.
Dissertation sur les Mediolanum et les Fines des itinéraires et de la carte de Peutinger, 1853
Dissertation sur l'utilité de l'étude des antiquités ecclésiastiques, 1856 Texte en ligne
Dissertation sur l'importance de l'ancienne colonie de Lugdunum et l'étendue de son territoire, 1858
Dissertation sur les anciens peuples du Mexique, contenu dans De l'Origine des Anciens peuples du Mexique, 1875

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