L'Homme qui tue les femmes

L'Homme qui tue les femmes

Mémoires d'un serial-killer

Camille Lemonnier

Polars & thrillers

Couverture souple

32 pages

ISBN: 9782322128204

Éditeur : Books on Demand

Date de parution : 28.01.2019

Langue: français

Impression couleurs: non

Évaluation:
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L'Homme qui tue les femmes
Mémoires d'un serial killer

Cette nouvelle se présente sous la forme des mémoires d'un tueur de femmes. L'auteur y décrit de manière réaliste, dans un style très violent et sensuel (pour l'époque) ce qui se passe dans la tête de ce tueur psychopathe, inspiré par Jack l'Eventreur, avant, pendant et après ces actes de violence. Un roman dérangeant qui défraya la chronique lors de sa parution en 1893 et qui inaugure pour la première fois dans le genre littéraire les livres de serial killers.

Camille Lemonnier, né à Ixelles, Belgique le 24 mars 1844 et mort dans sa ville natale le 13 juin 1913, est un écrivain belge.
Camille Lemonnier

Camille Lemonnier

Camille Lemonnier, né à Ixelles, Belgique le 24 mars 1844 et mort dans sa ville natale le 13 juin 1913, est un écrivain belge. On a souvent surnommé Lemonnier le « Zola belge » bien qu'il ait affirmé que cette étiquette ne lui convenait pas. En fait, l'auteur du Mâle est trop soucieux de son style (qu'on nommait « macaque flamboyant ») et de recherche de néologismes et d'archaïsmes pour être rangé parmi les naturalistes. La filiation avec le naturalisme français s'arrête, en effet, à l'influence du milieu, et plus précisément de la vie animale, sur le comportement des personnages.Dans des romans tels Le Possédé, La Fin des bourgeois ou L'Homme en amour, Lemonnier se rattache davantage au courant dit « décadent », représenté en France par J.-K. Huysmans, Peladan, Lorrain ou Rachilde ; la préciosité de son style, son obsession pour le thème de la femme fatale, la névrose et la perversion peuvent être considérés comme une contribution originale à l'esthétique décadente. Si, dans ces romans des années 1890, Lemonnier se rapproche davantage de Félicien Rops, il n'en demeure pas moins que les chapitres du Mâle qui décrivent la kermesse ou la vie à la ferme renvoient davantage à la tradition flamande et aux tableaux de Pieter Brueghel l'Ancien.

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